jeudi 31 octobre 2013

Les niveaux de biodiversité

             La diversité du monde vivant est un concept très vaste, qui gagne à être précisé en distinguant, selon une approche désormais classique, trois catégories, la diversité génétique, à l’échelle d’une population ou d’un ensemble de populations pour une espèce née, la diversité taxonomique, aux niveaux supérieurs de la classification, et la diversité éco systémique, pour laquelle les catégories considérées sont les écosystèmes.

            En marge de la diversité taxonomique, nous mentionnons une quatrième catégorie, particulièrement utile pour comprendre la structuration de la biodiversité en lien avec le fonctionnement de l’écosystème, il s’agit de la diversité écologique, pour laquelle les catégories considérées sont des groupes fonctionnels d’espèces.

Introduction sur la biodiversité végétale


            Le réchauffement climatique est susceptible d’entrainer de nombreuses modifications, des changements d’ordre physiologique (photosynthèse, respiration, croissance morphologique), des changements de phénologie (avancée des dates de floraison, fructification, apparition de nouvelles espèces ou extinction d’espèce vulnérables).
           Il a fallut des décennies, pour donner preuves suffisantes de la réalité du changement climatique et de son origine anthropogénique, il a envahit les paysages qu’on doit analyser et prédire ses effets sur la biodiversité d’une manière globale, sans oublier, l’effet parallèle et confondant des changements d’utilisation des terres, causes par l’émergence de nouveaux enjeux socioéconomique.
          Le climat méditerranéen est caractérisé par une sécheresse éstivale 
associé aux vents violents, des pluies irrégulières, les sols sont exposés à l’érosion, appauvrissement en matière organique et nutriments minéraux.
          Les espèces végétales sont adaptées à un stress hydrique et faible ressources édaphiques.
           Le GIEC dans son rapport 2007, reconnaît que les concentrations en gaz à effet de serre (Co2, méthane, No2) ont augmenté suite à l’action de l’homme de puis 1750 cela est attribut au recoure sans cesse croissant à l’énergie fossiles et aux changements d’utilisation des terre (de foréstation, désertification et agriculture).
           Le réchauffement est considéré comme impossible à nier ver l’augmentation de la température dans l’atmosphère, d’après la dernière estimation par les cinq dernières décennies 0,13°C, sachant que la terre se réchauffe vite que la mer avec un maximum en hiver et au printemps.
           L’impact du réchauffement des températures sur la biodiversité s’explique par la mesure de l’érosion de la diversité biologique (génétique, spécifique ou ecosystémique) et les diverses altérations subies par le monde vivant, dans ses composantes spatiales et temporelles.
           C’est surtout les modifications des distributions des espèces faune et flore que beaucoup d’études ont contribué à d’explique les modifications de phénologie des espèces et les changements d’aire de distribution pour les plantes, il peut s’agir de la capacité dissémination, de la nature du sol, de l’occupation des terres et des changements d’usage, une grande quantité de connaissance sur la physiologie, la phénologie des espèces est réclamée