Le réchauffement climatique est susceptible
d’entrainer de nombreuses modifications, des changements d’ordre physiologique
(photosynthèse, respiration, croissance morphologique), des changements de phénologie
(avancée des dates de floraison, fructification, apparition de nouvelles espèces
ou extinction d’espèce vulnérables).
Il a fallut des décennies, pour
donner preuves suffisantes de la réalité du changement climatique et de son origine
anthropogénique, il a envahit les paysages qu’on doit analyser et prédire ses
effets sur la biodiversité d’une manière globale, sans oublier, l’effet parallèle
et confondant des changements d’utilisation des terres, causes par l’émergence
de nouveaux enjeux socioéconomique.
Le climat méditerranéen est
caractérisé par une sécheresse éstivale
associé aux vents violents, des pluies irrégulières, les sols sont exposés à
l’érosion, appauvrissement en matière organique et nutriments minéraux.
Les espèces végétales sont adaptées à
un stress hydrique et faible ressources édaphiques.
Le GIEC dans son rapport 2007,
reconnaît que les concentrations en gaz à effet de serre (Co2, méthane,
No2) ont augmenté suite à l’action de l’homme de puis 1750 cela est attribut
au recoure sans cesse croissant à l’énergie fossiles et aux changements
d’utilisation des terre (de foréstation, désertification et agriculture).
Le réchauffement est considéré comme
impossible à nier ver l’augmentation de la température dans l’atmosphère,
d’après la dernière estimation par les cinq dernières décennies 0,13°C, sachant
que la terre se réchauffe vite que la mer avec un maximum en hiver et au
printemps.
L’impact du réchauffement des
températures sur la biodiversité s’explique par la mesure de l’érosion de la
diversité biologique (génétique, spécifique ou ecosystémique) et les diverses
altérations subies par le monde vivant, dans ses composantes spatiales et
temporelles.
C’est surtout les modifications des distributions
des espèces faune et flore que beaucoup d’études ont contribué à d’explique les
modifications de phénologie des espèces et les changements d’aire de
distribution pour les plantes, il peut s’agir de la capacité dissémination, de
la nature du sol, de l’occupation des terres et des changements d’usage, une
grande quantité de connaissance sur la physiologie, la phénologie des espèces
est réclamée
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire