dimanche 3 novembre 2013

la dégradation de la biodiversité



 Urbanisation et industrialisation
          L’urbanisation et l’industrialisation au sens le plus large se traduisent par l’anéantissement de nombreux biotopes. Nul besoin d’être un écologiste chevronné pour comprendre que béton et bitume ne détruisent inéluctablement le milieu sur lequel ils sont mis en œuvre.
          Le gaspillage de ressources naturelles consécutif à la construction de cités, d’usines, de voies de communication et d’aérodromes et particulièrement apparent dans les régions de haute vocation agricole.
          Depuis l’antiquité, l’homme a pris l’habitude d’édifier les cités au coeur des. Bassins alluviaux ou dans les plaines littorales les plus fertiles. Cette pratique fut sans grandes importances tant que les populations urbaines furent de taille réduite, mais il n’en est plus de même aujourd’hui sous l’effet conjoint de I’accroissance démographiques et de l’exode rural.
          En Europe, en Amérique, mais aussi dans des nombreux pays du tiers monde se créent puis s’étendent d’immenses villes nouvelles, tandis que croissent simultanément les anciens métropoles.
          A l’heure actuelle, l’ensemble des villes du monde couvrent une surface supérieure à celle de France, celles-ci ont été édifiées sans aucune exception au détriment de meilleures terres arables de la planète et ce gaspillage scandaleux continue.

          Les villes sont menacées pari’ implantation d’autres ouvrages industriels, les centrales nucléaires pour des raisons de sécurité, les responsables de l’éIectronucléaire choisissent les caps ou les baies à très faible densité de population, parfois même, certains sites présélectionnés se trouvent à l’intérieur de réserves naturelles 

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