Urbanisation et industrialisation
L’urbanisation et l’industrialisation
au sens le plus large se traduisent par l’anéantissement de nombreux biotopes.
Nul besoin d’être un écologiste chevronné pour comprendre que béton et bitume
ne détruisent inéluctablement le milieu sur lequel ils sont mis en œuvre.
Le gaspillage de ressources
naturelles consécutif à la construction de cités, d’usines, de voies de
communication et d’aérodromes et particulièrement apparent dans les régions de
haute vocation agricole.
Depuis l’antiquité, l’homme a pris
l’habitude d’édifier les cités au coeur des. Bassins alluviaux ou dans les
plaines littorales les plus fertiles. Cette pratique fut sans grandes
importances tant que les populations urbaines furent de taille réduite, mais il
n’en est plus de même aujourd’hui sous l’effet conjoint de I’accroissance
démographiques et de l’exode rural.
En Europe, en Amérique, mais aussi
dans des nombreux pays du tiers monde se créent puis s’étendent d’immenses
villes nouvelles, tandis que croissent simultanément les anciens métropoles.
A l’heure actuelle, l’ensemble des
villes du monde couvrent une surface supérieure à celle de France, celles-ci
ont été édifiées sans aucune exception au détriment de meilleures terres
arables de la planète et ce gaspillage scandaleux continue.
Les villes sont menacées pari’
implantation d’autres ouvrages industriels, les centrales nucléaires pour des
raisons de sécurité, les responsables de l’éIectronucléaire choisissent les
caps ou les baies à très faible densité de population, parfois même, certains
sites présélectionnés se trouvent à l’intérieur de réserves naturelles
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