mardi 5 novembre 2013

Le rôle de la forêt


       
- Régulation climatique
             La présence d’un foret est donc bien d’avantage la conséquence que la cause du climat local. Cependant cette foret module les données climatiques du site, et ce pour diverses raisons. Ainsi, les couronnes une maison ; des effets thermiques sont certains. Les vents sont apaisés en foret et donc l’évaporation au sein même du massif s’en trouve minimisée. En hiver, le sol forestier, isolé par la litière qui le recouvre, est moins sujet au gel qu’en espace dénudé. Par contre la neige tend à y séjourner plus longtemps qu’en plein découvert .
- Température
            La forêt exerce son influence sur les températures par le biais de :
- L’absorption de chaleur par sa biomasse aérienne.
- L’utilisation de calories par les feuilles réalisant la photosynthèse.
- L’évaporation de l’eau de rosée ou la pluie retenue à la surface des feuilles avec ses exigences thermiques. La réduction du rayonnement nocturne du fait de la présence des cimes. .
- Pluviométrie
             Au dessus d’une forêt, l’atmosphère est légèrement plus froides, ce qui peut favoriser la formation de pluie. L’effet, foret correspondant à une augmentation moyenne annuelle des précipitations de 12.5% avec de considérables fluctuations en fonction des mois de l’année.
- Teneur de l’atmosphère en gaz carbonique
             Chaque année des quantités de destruction forestières, des certaines de millions des tonnes de carbone retournant vers l’atmosphère sous forme de dioxyde de carbone avec une réduction considérable de ces surfaces follement incendiées.
            Mais on ne peut oublier au contraire, que la forêt constitue aussi un providentiel laboratoire de synthèse, l’assimilation chlorophyllienne, cette photosynthèse, réalisée par les arbres de la forêt produit du bois, une forme d’immobilisation du carbone qui ne tourne pas, normalement de sitôt à l’atmosphère. On doit donc considérer avec une grande, attention, cette forme de lutte contre l’élévation de la teneur de l’air en C02 qui à le nom de sylviculture bien conduite.
- Vent
             Ce sont la densité du peuplement et le développement des frondaisons qui déterminent l’ampleur de l’atténuation du vent sous bois, naturellement.
             Pour les essences à feuilles caduques, la saison module considérablement l’effet ce pendant que les conifères à feuillage dense et persistant sont plus particulièrement efficaces. S’il est violent en plein découvert, le vent perd considérablement de sa force au sein d’un grand massif; la grille des futés et les feuilles des chicons le freinent énormément. La rugosité d’un peuplement et en effet beaucoup plus marquée que celle d’une prairie ou de pelouse (respectivement 60 et30 fois plus. Cette aptitude à freiner le vent est d’ailleurs l’un des effets majeurs du foret sur les facteurs milieu.
- Fixation des sols et ressources en eaux
            La forêt, avec sons sous bois, constitue le plus efficace défenseur des sols en raison de la complexité du couvert végétal, allant des grands arbres au système radiculaire puissant, enserrant la terre dans un réseau solidement charpenté. Jusqu’aux plantes herbacées aux racines formant un fin lacis. Elles relient de ce fait l’eau de pluie, empêchant son ruissellement, et la restitue très progressivement; certains n’ont pas craint de comparer un foret à un lac de barrage.
- Production de bois
             Manifestement, les bois en toujours houé un rôle considérablement dans l’économie des pays. Qu’il s’agisse de bois médian, des bois de senteur, bois de couleur, de bois de teinture, ou plan des utilisations plus banales, de bois de chauffage, de construction, de charpente ou de charronnage.
             Pour ces derniers usages, on ne marque pas de distinguer des bois durs (ceux du chêne, de  l’orme de l’ébène ou de frêne) et des bois blanc (comme ceux du saule, du tilleul ou du peuplier).
             Les bois actuellement les plus recherchés se lèsent ventiler entre les bois d’industrie destinés à des emplois plus grossiers, les bois de feu pour le chauffage direct ou la préparation des braises. 

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