- Régulation
climatique
La présence d’un foret est donc
bien d’avantage la conséquence que la cause du climat local. Cependant cette
foret module les données climatiques du site, et ce pour diverses raisons.
Ainsi, les couronnes une maison ; des effets thermiques sont certains. Les
vents sont apaisés en foret et donc l’évaporation au sein même du massif s’en
trouve minimisée. En hiver, le sol forestier, isolé par la litière qui le
recouvre, est moins sujet au gel qu’en espace dénudé. Par contre la neige tend
à y séjourner plus longtemps qu’en plein découvert .
- Température
La forêt exerce son influence sur les
températures par le biais de :
- L’absorption
de chaleur par sa biomasse aérienne.
- L’utilisation
de calories par les feuilles réalisant la photosynthèse.
- L’évaporation
de l’eau de rosée ou la pluie retenue à la surface des feuilles avec ses
exigences thermiques. La réduction du rayonnement nocturne du fait de la
présence des cimes. .
-
Pluviométrie
Au dessus d’une forêt, l’atmosphère est
légèrement plus froides, ce qui peut favoriser la formation de pluie. L’effet,
foret correspondant à une augmentation moyenne annuelle des précipitations de
12.5% avec de considérables fluctuations en fonction des mois de l’année.
- Teneur de
l’atmosphère en gaz carbonique
Chaque année des quantités de destruction
forestières, des certaines de millions des tonnes de carbone retournant vers
l’atmosphère sous forme de dioxyde de carbone avec une réduction considérable
de ces surfaces follement incendiées.
Mais on ne peut oublier au contraire, que
la forêt constitue aussi un providentiel laboratoire de synthèse,
l’assimilation chlorophyllienne, cette photosynthèse, réalisée par les arbres
de la forêt produit du bois, une forme d’immobilisation du carbone qui ne
tourne pas, normalement de sitôt à l’atmosphère. On doit donc considérer avec
une grande, attention, cette forme de lutte contre l’élévation de la teneur de
l’air en C02 qui à le nom de sylviculture bien conduite.
- Vent
Ce sont la densité du peuplement et le
développement des frondaisons qui déterminent l’ampleur de l’atténuation du
vent sous bois, naturellement.
Pour les essences à feuilles caduques, la
saison module considérablement l’effet ce pendant que les conifères à feuillage
dense et persistant sont plus particulièrement efficaces. S’il est violent en
plein découvert, le vent perd considérablement de sa force au sein d’un grand
massif; la grille des futés et les feuilles des chicons le freinent énormément.
La rugosité d’un peuplement et en effet beaucoup plus marquée que celle d’une
prairie ou de pelouse (respectivement 60 et30 fois plus. Cette aptitude à
freiner le vent est d’ailleurs l’un des effets majeurs du foret sur les
facteurs milieu.
- Fixation
des sols et ressources en eaux
La forêt, avec sons sous bois, constitue
le plus efficace défenseur des sols en raison de la complexité du couvert
végétal, allant des grands arbres au système radiculaire puissant, enserrant la
terre dans un réseau solidement charpenté. Jusqu’aux plantes herbacées aux
racines formant un fin lacis. Elles relient de ce fait l’eau de pluie,
empêchant son ruissellement, et la restitue très progressivement; certains
n’ont pas craint de comparer un foret à un lac de barrage.
- Production
de bois
Manifestement, les bois en toujours houé un
rôle considérablement dans l’économie des pays. Qu’il s’agisse de bois médian,
des bois de senteur, bois de couleur, de bois de teinture, ou plan des utilisations
plus banales, de bois de chauffage, de construction, de charpente ou de
charronnage.
Pour ces derniers usages, on ne marque pas
de distinguer des bois durs (ceux du chêne, de
l’orme de l’ébène ou de frêne) et des bois blanc (comme ceux du saule,
du tilleul ou du peuplier).
Les bois actuellement les plus recherchés
se lèsent ventiler entre les bois d’industrie destinés à des emplois plus
grossiers, les bois de feu pour le chauffage direct ou la préparation des
braises.